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Bien sûr c’est l’honneur de l’Egypte, davantage encore celui de tout le monde arabe, qui n’a jamais encore accédé à la présidence de l’UNESCO, qui est en jeu avec la candidature de Farouk Hosni (leturcq-farouk-hosni-unesco1.pdf)! La majorité de 30 voix sur 58 pays votants ne se cristallise pas autour de la figure du ministre de la culture égyptien. Et si l’on s’était trompé d’Egyptien? Il y a une dizaine d’années l’actuel directeur de la Bibliotheca alexandrina, Dr Ismaïl Serageldin, s’était brièvement porté candidat … avant de se retirer pour des raisons qu’on peut qualifier de diplomatiques.
Leïla el-Wakil 
Mettre un propagateur d’autodafé à la tête de l’unesco, ça prouve que les ong sont vraiment dans un dédale infernal et rappelant fortement la montée du nazisme !
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